Sans cesse appelées à travailler dans l’urgence, les associations de protection de la nature et de l’environnement n’ont pas toujours eu le souci de conserver une trace pérenne de leurs actions. Au fil des générations se succédant, les nouveaux arrivants n’ont peut-être pas eu, non plus, le réflexe de rechercher les racines de leurs associations.
C’est pourquoi, l’AHPNE et France Nature Environnement ont adressé une lettre conjointe aux associations pour les alerter sur le risque de voir disparaître rapidement la mémoire de la vie associative, mémoire sans laquelle elles ne pourront pas construire l’avenir et qui fera défaut aux historiens.