Pierre Pfeffer voit le jour le 6 décembre 1927 à Paris. Ses parents, Marie Beylin et M. Pfeffer sont tous deux journalistes. Sa mère, d’origine russe par son père et polonaise par sa mère, part travailler en Europe de l’Est avec sa famille, alors que Pierre est encore tout petit. De l’à¢ge de 3 ans à 10 ans, Pierre séjourne d’abord en Allemagne puis passe un an en Pologne et cinq ans et demi en URSS. Il grandit dans la campagne russe et fréquente le Cercle des Jeunes Naturalistes de l’école primaire soviétique. Il y est chargé des reptiles, côtoie avec grand plaisir couleuvres et lézards et se passionne pour les animaux en général.
En 1937, la famille Pfeffer revient en France. Pierre trouve l’école communale Arago à Paris bien plus sévère et ennuyeuse que l’école soviétique. Il poursuit ses études au collège-lycée Les Minimes à Lyon, suivant toujours sa mère. Pendant la guerre, sa famille souffre particulièrement. Son père est fusillé. Entrée dans la Résistance, sa mère continue de travailler dans des agences de presse dans différents secteurs de la zone libre. Dans un climat croissant d’arrestations, on lui conseille d’envoyer son fils au maquis. Pierre rejoint les membres des Forces Françaises Libres dans l’Ardèche. Malgré les circonstances, il apprécie de vivre dans la nature et braconne des truites à la main, véritable régal pour lui et sa trentaine de camarades.
Il rallie l’armée française qui remonte la vallée du Rhône et combat dans les campagnes d’Alsace, d’Allemagne et d’Autriche o๠il se découvre un grand intérêt pour les nombreux animaux de montagne qu’il croise dans les Alpes autrichiennes, notamment les chamois. Pierre Pfeffer est démobilisé en janvier 1947.
De retour en France, il doit encore passer son baccalauréat. Il fréquente un an le lycée Henri IV puis le lycée Hélène Boucher à Vincennes o๠des cours spéciaux sont dispensés aux élèves dont les études ont été interrompues par la guerre. Ses deux bacs en poche, il se dirige d’abord vers la profession de vétérinaire mais, rebuté par l’esprit mercantile qu’il prête à ses condisciples, il s’inscrit à la faculté des Sciences à la Sorbonne en Sciences physiques, chimiques et naturelles.
Durant ses études, il se lie d’amitié avec des camarades africains qui l’invitent dans leurs familles. Il séjourne pour la première fois en Afrique, en Côte d’Ivoire, en 1950. Il découvre la nature africaine et observe de nombreux animaux. Sur le bateau qui le ramène en France, il fait la connaissance d’un botaniste du Muséum National d’Histoire Naturelle qui le présente, à Paris, au directeur du laboratoire Mammifère et Oiseaux du Muséum, le professeur Jacques Berlioz.
Ce dernier lui propose d’accompagner, bénévolement, une expédition d’ethnologues et le cinéaste Georges Bourdelon au cœur de l’île de Bornéo. Pierre Pfeffer a pour mission de récolter des animaux pour les collections du Muséum. L’expédition a lieu en 1956. Elle s’arrête d’abord pendant cinq mois aux îles Komodo, o๠Pierre Pfeffer étudie longuement le varan de Komodo auquel il consacre son mémoire de DES et un livre. L’étape suivante, au centre de l’île de Bornéo, encore entièrement couverte de forêt primaire, dure quatorze mois. Il collecte pour le Muséum d’innombrables oiseaux, mammifères, insectes, reptiles, qui rejoignent, à son retour, les collections du Muséum et lui valent l’estime de l’institution. Il en rapporte un livre, Bivouacs à Bornéo.
Après son DES, il veut poursuivre par un doctorat d’État. Plusieurs sujets lui sont proposés et, après bien des hésitations, il finit par opter pour une thèse sur le mouflon de Corse, sous la direction de François Bourlière. D’autres voies que la recherche l’ont tenté. Il a sérieusement envisagé de reprendre l’exploitation agricole familiale tenue par son oncle dans le Périgord, de se lancer dans un élevage de chiens et de travailler dans un zoo. Le directeur du zoo de Vincennes l’ayant chargé de missions pour lui ramener des animaux, notamment en Inde en 1958, le constat des conditions de capture et de transport déplorables et de la mortalité « effroyable  » des animaux, avant et après leur arrivée au zoo, le fait renoncer à cette voie. Il s’engage même par la suite dans des campagnes contre les zoos, qui déboucheront sur une réponse politique dans les années 1970, améliorant les conditions de détention.
Intégré définitivement au Muséum, il effectue une centaine de missions de plus ou moins longue durée en Afrique et en Asie, s’engageant dans la protection de la nature des pays o๠il se rend. À partir de 1968, il contribue ainsi fortement au maintien du parc national tchadien de Zakouma, créé en 1963, pour lequel il obtient en 1986 un financement européen qui permet de relancer le parc après la guerre civile. Il contribue également au classement en parc national d’une zone de plus d’un million et demi d’hectares au Nord-Est de la République Centrafricaine : le parc national de Manovo-Gounda-St.Floris et à la création du parc national de Taï en Côte d’Ivoire. Il est nommé en 2000 président du Réseau des Aires Protégées d’Afrique Centrale (RAPAC), qui couvre huit pays et assume cette fonction pendant six ans.
En Asie o๠il a séjourné au total environ quatorze ans, Pierre Pfeffer œuvre à la mise en place d’un parc national, aujourd’hui disparu, dans le centre du Cambodge, afin d’y protéger la faune et, notamment les tigres, les ours et les koupreys (bovidé endémique qui a aujourd’hui apparemment disparu, Bos sauveli). Entre 1960 et 1964, il séjourne à plusieurs reprises dans cette région, dans un contexte rendu difficile par la guerre du Vietnam. Il contribue aussi à la protection du varan de Komodo, en remettant à l’IUCN et aux Indonésiens des rapports sur l’état de conservation de l’espèce. Grand admirateur de la nature asiatique, Pierre Pfeffer a publié un livre intitulé L’Asie, qui présente les biomes du continent.
À la demande de l’IUCN, il effectue de longues enquêtes dans les années 1960 sur le trafic des espèces animales à travers l’Asie, de Hong-Kong à Singapour, avant l’adoption de la Convention de Washington sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction en 1973. Il se mobilise dans les campagnes contre le massacre des félins tachetés.
C’est encore l’IUCN qui lui demande en 1977 de devenir président du WWF-France pour revitaliser l’association, qui compte alors moins de 300 adhérents. Sous son impulsion, le nombre d’adhérents augmente fortement, le WWF lance sa revue Panda et accroît son budget en développant ses relations avec le monde des affaires. En désaccord avec le WWF sur certains points, relatifs notamment à la position à prendre sur le commerce de l’ivoire, il démissionne le 26 octobre 1983. La vision de la protection de la nature du WWF était pour lui trop utilitaire et pragmatique et le rapprochement entre économie et protection de la nature lui semblait un mélange des genres dans lequel il ne se retrouvait plus.
Il continue en revanche d’être expert de l’IUCN pour l’Afrique Centrale et Occidentale et intervient pour tenter de sauver les rhinocéros. Entre 1980 et 1985, il dresse l’inventaire complet des derniers rhinocéros au Tchad, au Cameroun et en Centrafrique. Il préconise certaines mesures concernant les territoires à protéger, qui ne seront pas suivies par l’UICN.
Pierre Pfeffer fait partie d’un groupe de naturalistes qui sont membres de la Société Nationale de Protection de la Nature (SNPN). Lui-même y adhère dans les années 1960, écrivant de nombreux articles dans la revue de l’association, Le Courrier de la Nature. Il est aussi un des principaux artisans de la création de la réserve du lac de Grand Lieu en Loire-Atlantique. Lors d’un voyage en Afrique, il rencontre par hasard Jean-Pierre Guerlain, le célèbre et riche parfumeur, venu participer à un safari de chasse. Les deux hommes lient connaissance et Pierre Pfeffer découvre chez son interlocuteur une passion pour la nature. Guerlain l’invite par la suite dans sa propriété du Lac de Grand Lieu et lui fait part de son inquiétude quant au devenir de sa propriété, dont il craint qu’elle ne soit démembrée et dénaturée après sa mort car il n’a pas d’héritier. En décembre 1977, Jean-Pierre Guerlain lègue sa propriété à l’État, sous condition notamment de son classement en réserve naturelle. La réserve de 3600 hectares, gérée par la SNPN, est créée en septembre 1980.
Dans les années 1980, Pierre Pfeffer devient secrétaire-général de la SNPN et se consacre principalement à mener un combat en faveur de la protection des éléphants. Ses campagnes ont un retentissement international. Lancé dans la lutte contre le commerce de l’ivoire depuis 1971, il obtient en 1989 le classement de l’éléphant en annexe I de la CITES. Pierre Pfeffer déplore que quatre pays d’Afrique australe aient été autorisés en 1997 et en 2000 à prélever de nouveau de l’ivoire, relançant selon lui la menace sur les éléphants.
Pierre Pfeffer participe à l’ébauche de deux projets de parcs nationaux, l’un en Corse, à laquelle il est lié depuis sa thèse sur le mouflon, l’autre dans le massif du Caroux, suite à sa rencontre avec Gilbert Massol, passionné de mouflons. Finalement, ces deux projets deviendront deux parcs naturels régionaux : le parc naturel régional de Corse en 1972 et celui du Haut-Languedoc en 1973.
Par l’intermédiaire de Jean Dorst, successeur de Jacques Berlioz à la tête du laboratoire mammifères et Oiseaux, Pierre Pfeffer devient membre du CNPN puis remplit la fonction de secrétaire-général du comité permanent du conseil entre 1978 et 1983. Au sein du CNPN, après l’adoption de la loi sur la protection de la nature en 1976, il participe à l’élaboration de la liste des espèces protégées en France et œuvre pour la protection de l’Ours des Pyrénées. Il défend aussi l’intérêt en décembre 1978 de créer une mission d’étude pour la protection de la nature et des réserves naturelles dans les Terres australes et antarctiques françaises et soutient la création des parcs nationaux du Mercantour et de la Guadeloupe. Pierre Pfeffer participe aussi à la réintroduction du lynx en France.
En 1967, après l’impression de sa thèse sur les mouflons, il est contacté par Roger Settimo, passionné de montagne et de mouflons. Pierre Pfeffer se rend dans le Mercantour et les deux hommes se lient d’amitié. Pierre Pfeffer se rend désormais régulièrement dans le Mercantour, étudiant l’alimentation et les déplacements des chamois, mouflons et bouquetins. Pierre Pfeffer se bat selon son expression « comme un lion  » pour classer le Mercantour en parc national. Il travaille à l’avant-projet de parc et le présente, avec Jacques Florent, le chargé de mission pour la création du parc, au CNPN le 27 avril 1978, louant ce qui, pour lui, deviendra le plus beau parc national de France, voire d’Europe : « C’est une région des plus riches par suite des influences alpines et méditerranéennes. C’est un secteur qui est non seulement intéressant du point de vue scientifique mais qui est aussi très spectaculaire sur le plan touristique, honnêtement beaucoup plus beau que la Vanoise, les sites et la végétation étant plus variés, un atout supplémentaire se trouvant dans la présence de forêts qui n’existent pas en Vanoise. Il faut aussi remarquer l’extraordinaire vallée des Merveilles avec ses gravures rupestres. La conjonction de tous ces facteurs en feront véritablement un parc en tout point des plus remarquables  ».
Cet avant-projet est en réalité un contre-projet puisqu’il doit protéger le Mercantour des stations de sports d’hiver (Azur 2000 et Sestrière 2000) que les promoteurs veulent y construire. Les limites proposées sont alors celle du projet initial de Jacques Florent étendues à des zones biologiques que Pierre Pfeffer juge fondamentales, comme le vallon de Barn et le plateau des Addus. En aoà »t 1979, grà¢ce à la fermeté de Michel d’Ornano, ministre en charge de l’environnement, le parc national du Mercantour est enfin créé. Le rôle qu’il a joué dans cette création et les études qu’il a menées dans le Mercantour lui valent d’être sollicité pour présider le conseil scientifique du nouveau parc et être le vice-président de son conseil d’administration.
Les tensions avec les chasseurs, initialement opposés à la création du parc, s’apaisent progressivement avec l’augmentation des populations d’ongulés… jusqu’à l’arrivée des loups, au début des années 1990. Les écologistes sont accusés d’avoir introduit le loup de manière délibérée ; Pierre Pfeffer est particulièrement soupçonné en raison de son implication dans la réintroduction du lynx. La lutte éreintante qu’il doit mener pour se défendre et défendre le parc finit par le lasser. Il démissionne de sa fonction en 2001.
De décembre 1969 à 1976, Pierre Pfeffer présente l’émission télévisée hebdomadaire « Les Animaux du Monde  », lancée par le journaliste François de La Grange. Pierre Pfeffer suggère les sujets à traiter et participe à la conception de l’émission. Il présente aux spectateurs les animaux, empruntés à des zoos, qui défilent sur le plateau, décrit la vie des espèces, des grands singes à l’éléphant, en adoptant un discours scientifique visant à sensibiliser le grand public à une heure de forte audience. Cette présence dans les médias lui vaut des inimitiés de la part de scientifiques mécontents de voir l’un des leurs s’exposer à la télévision dans une émission animalière de vulgarisation. De son côté, Pierre Pfeffer est entièrement convaincu que le scientifique a une mission pédagogique à remplir. Il entend profiter de la télévision pour atteindre un large public et transmettre un message d’amour des animaux et de protection de la nature. Cette émission marque le début d’une lignée de présentateurs-naturalistes qui vont rythmer la vie des téléspectateurs.
Précurseur de l’incursion du discours scientifique dans les médias, Pierre Pfeffer participe, avec les journalistes François de La Grange et Pierre Pellerin, à la création de l’association Journalistes-écrivains pour la Nature et l’Écologie (JNE). Il publie aussi des ouvrages de vulgarisation, écrit deux livres pour enfants sur l’éléphant et le loup et participe de temps en temps à des émissions de radio.
Fils et mari de journalistes - après une première union avec une zoologiste du Muséum, Huguette Genest, avec qui il a eu une fille, il épouse à l’à¢ge de cinquante ans une journaliste japonaise, Kazuko, - Pierre Pfeffer est un scientifique à l’aise dans le milieu des médias. Il dialogue volontiers et facilement avec les journalistes et les autres acteurs de la société, ce qui est à l’époque profondément atypique.
Pierre Pfeffer se distingue aussi par son refus de s’enfermer dans une spécialité : il intervient tour à tour comme herpétolologiste, ornithologiste, mammalogiste, et s’intéresse aussi à l’entomologie. L’éclectisme de ses recherches, qui transparaît dans les quelque 250 publications qui ont jalonné sa carrière, donne une profonde originalité à ses travaux. Polyglotte et avide de découvertes, il a été un ardent et efficace protecteur de la nature, en France et dans les commissions, négociations et organisations internationales o๠sa maîtrise de six langues, du russe à l’indonésien en passant par l’anglais, lui ont été d’une grande utilité.
Il est toujours émerveillé par le comportement des animaux et heureux au plus proche de la nature, en particulier dans la forêt qu’il admire depuis toujours, qu’il s’agisse de la taïga en Russie, des forêts primaires de Côte d’Ivoire ou de Bornéo, ou de celles de l’Yonne près desquelles il a une résidence : « la nature, c’est ma passion, je me sens bien dedans, je suis heureux dans la nature, en particulier dans la forêt  ». Pierre Pfeffer considère et aime la nature comme un tout et ne fait pas de distinction entre nature vierge et nature ordinaire. Grand amateur de pêche et de chasse photographique, sa « vocation  » naturaliste n’a fait que grandir au fil des années. Chasseur dans sa jeunesse pour sa nourriture en temps de guerre ou lors d’expéditions naturalistes dans des contrées exotiques, et pour les collections du Muséum, du zoo de Vincennes et du Jardin des Plantes, il a particulièrement apprécié la collaboration entre le chasseur et son chien. Néanmoins, il renonce à la chasse après une dernière mission de collecte en Côte d’Ivoire pour le Muséum en 1960, ne désirant plus tuer sans nécessité impérieuse de se nourrir. Il s’est souvent opposé aux milieux cynégétiques, en dépit de sa sensibilité à leur passion, et souhaite une éducation naturaliste des chasseurs.
Pierre Pfeffer se dit aujourd’hui plutôt désabusé, après s’être heurté, durant toute sa carrière, à ce qu’il estime être un manque de volonté criant. Il estime que l’on parle assurément beaucoup plus qu’avant de la nature et de la biodiversité mais que les actions ne suivent toujours pas. Il en veut pour preuve la reprise du commerce de l’ivoire et la poursuite de la chasse à la baleine.
Les difficultés et les désillusions ne l’ont pas empêché de mener, encore et toujours, ce qui est le véritable combat de sa vie, celui pour la protection de la nature : « Si je recours à ces termes guerriers de « combattant  » et de « bataille  », c’est que la défense de la nature et surtout celle des espèces animales est malheureusement un éternel combat et même un combat féroce, épuisant, souvent décevant, contre les pesanteurs administratives, les préjugés ancestraux et avant tout contre des intérêts matériels et politiques à courte vue.  » écrit-il d’emblée, dans sa préface à l’ouvrage de Gilbert Massol, Le Mouflon.
Mais c’est contre la maladie qu’il a mené son dernier combat. Il s’est éteint le 29 décembre 2017.
Sources orales :
Entretien de Pierre Pfeffer à son domicile réalisé par Victor Pereira, le mercredi 23 février 2011.
Ouvrages consultés :
– Aké Assi Laurent, Pfeffer Pierre, Lauginie Francis. - Etude d’aménagement touristique du Parc national de Taï / République de Côte d’Ivoire, Secrétariat d’Etat aux Parcs nationaux. Paris : Bureau pour le développement de la production agricole, 1975
– Kempf C., Balestreri A., Wotschikowsky U., Fernex M. ; préface de Pfeffer Pierre. – Chez nous le lynx ? Mythes et réalité, Les guides Gesta, 1979
– Massol Gilbert, préface de Pfeffer Pierre. - Le mouflon : quel avenir pour les grands mammifères sauvages de montagne face à des activités humaines croissantes. Lamalou-Les-Bains : Gilbert Massol, 2005
– Pfeffer Pierre et Dhuit Guy. – Zoo sans frontières : animaux d’Afrique Orientale, Paris : Hatier, 1970
– Pfeffer Pierre. – Vie et mort d’un géant, l’éléphant d’Afrique, Paris : Flammarion, 1989
– Pfeffer Pierre. – Aux Iles du dragon, paris : Flammarion, 1964
– Pfeffer Pierre. – Bivouacs à Bornéo, Paris : Flammarion, 1963
– Pfeffer Pierre. - L’Asie : [Asia, a natural history], Paris : Hachette, 1970
Documents consultés en ligne :
– Article Larousse, consulté en février 2011
– Retranscription des propos d’une discussion du 4 mars 1993 à propos de l’arrivée du loup
Archives :
Fontainebleau, archives nationales : 20070642, Art 1-3 Séances plénières du comité permanent : Procès-verbaux, Décisions. 1976-1984
Bibliographie partielle de Pierre Pfeffer en lien avec la PNE :
– Aké Assi Laurent, Pfeffer Pierre, Lauginie Francis. - Etude d’aménagement touristique du Parc national de Taï / République de Côte d’Ivoire, Secrétariat d’Etat aux Parcs nationaux. Paris : Bureau pour le développement de la production agricole, 1975
– Baschieri Salvadori Francesco, Lorenzo Florio Pier, postface de Pierre Pfeffer. - Ces animaux qui disparaissent, paris : bordas, 1978
– Breuil Michel, Mayeur Jean-Paul, thille Frantz ; préface de Pfeffer Pierre. - Kenya-Tanzanie : le guide du safari : faune et parcs, Paris : Ed.Marcus, 1998
– Dejace Philippe, préface de Pierre Pfeffer. – Zakouma, 2002
– D’Este Lauriane, préface de Pierre Pfeffer. - La fin annoncée d’homo sapiens sapiens : sauver la planète, changer la société, Paris : Ellébore-Sang de la terre, 2007
– Kempf C., Balestreri A., Wotschikowsky U., Fernex M. ; préface de Pfeffer Pierre. – Chez nous le lynx ? Mythes et réalité, Les guides Gesta, 1979
– Massol Gilbert, préface de Pfeffer Pierre. - Le mouflon : quel avenir pour les grands mammifères sauvages de montagne face à des activités humaines croissantes. Lamalou-Les-Bains : Gilbert Massol, 2005
– Pfeffer Pierre. – Bivouacs à Bornéo, Paris : Flammarion, 1963
– Pfeffer Pierre. - Grand, fort et sage, l’éléphant, Paris : Gallimard, 1996, cop.1986
– Pfeffer Pierre. – L’ours, un géant pas si tranquille, Paris : Gallimard Jeunesse, 1985
– Pfeffer Pierre. - L’Asie : [Asia, a natural history]
– Pfeffer, Pierre / Hachette / 1970, Pfeffer Pierre. – Vie et mort d’un géant, l’éléphant d’Afrique, Paris : Flammarion, 1989
– Pfeffer Pierre. – Le Mouflon de Corse. Thèse d’Etat. Mammalia, 31 : 262 p
– Pierre Pfeffer & Arnoult Seveau. - Les bovinés rares et menacés du Cambodge, in Le Courrier de la Nature, N°195, p.18-24 (novembre-décembre 2001).