Lors de la formation du troisième gouvernement de François Fillon, en novembre 2010, Nathalie Kosciusko-Morizet est nommée ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement. Dès cette nomination, elle démissionne de son mandat au conseil régional d’Île-de-France, ne conservant que son mandat de maire de Longjumeau. En tant que ministre, elle est membre du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale. Son exercice est notamment marqué par la confirmation de l’appel d’offre sur l’éolien en mer, la confirmation de la passation du marché de la collecte de la taxe poids lourds, le développement du parc solaire français, l’approfondissement de la sà »reté des centrales nucléaires françaises à la suite de la catastrophe de Fukushima, l’interdiction de la fracturation hydraulique dans les recherches de gaz de schiste, les assises du ferroviaire ou encore la modernisation du transport fluvial. Lorsqu’elle quitte ce ministère, 90 % des décrets de la loi dite « Grenelle II  » ont été publiés
Sources Archives nationales
Cabinet de Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement (2010-2012)